Internet et la radicalisation des jeunes: prévenir, agir et vivre ensemble
lun, 31 oct - 11:00 - 12:30
Séance 1 - Atelier 1.2 : L’influence d'Internet et des espaces numériques dans les parcours de radicalisation
lun, 31 oct - 14:00 - 15:00
Séance 2 - Témoignages de jeunes et de familles directement touchés par la radicalisation violente
Séance 1 - Atelier 1.2 : L’influence d'Internet et des espaces numériques dans les parcours de radicalisation
Séance 2 - Témoignages de jeunes et de familles directement touchés par la radicalisation violente
Julie Miville-Dechêne
Représentante du Québec au sein de la Délégation permanente du Canada auprès de l’UNESCO (Canada)
Modératrice
Julie Miville-Dechêne exerce depuis le 22 août 2016 la fonction de représentante du Gouvernement du Québec au sein de la Délégation permanente du Canada auprès de l’UNESCO. Auparavant, elle a été présidente du Conseil du statut de la femme durant cinq ans. À ce titre, Julie Miville-Dechêne a conseillé le gouvernement en plus de diriger et de contribuer à de nombreux rapports de recherche sur les enjeux d’égalité femmes-hommes, notamment sur la prostitution, les violences liées à « l’honneur » et les mères porteuses. Avant de présider le Conseil du statut de la femme, Julie Miville-Dechêne a été journaliste à Radio-Canada, la chaîne de radiotélévision publique canadienne, pendant plus de 25 ans. Elle a successivement occupé des postes de correspondante de la télévision à Washington, Toronto, Ottawa et Montréal, au service des nouvelles et dans des émissions d’affaires publiques. Elle a terminé sa carrière dans les médias en étant nommée, en 2007, ombudsman de Radio-Canada. Elle a été la première femme à occuper ce poste prestigieux de médiatrice de presse.
Mme Miville-Dechêne est lauréate du prix Reconnaissance UQAM, du prix Raymond-Charrette pour son apport exceptionnel à la diffusion d’un français de qualité et du New York Festivals Award pour son reportage Les enfants et le terrorisme.
Elle est également détentrice d’une maitrise en journalisme de l’Université Columbia de New York, d’un diplôme de 2e cycle en prévention et règlement des conflits de l’Université de Sherbrooke et d’un baccalauréat en sciences politiques de l’Université du Québec à Montréal.