En 2004, elle devint la première femme africaine à recevoir le Prix Nobel de la paix.
Consciente que les enjeux environnementaux étaient directement liés à la gouvernance, à la paix et aux droits humains, Wangari Maathai s’appuya sur le Mouvement de la ceinture verte pour lutter contre les abus de pouvoir, tels que la confiscation de terres publiques, ou pour s’opposer à la détention illégale des opposants politiques.
Elle fut élue au Parlement de la République du Kenya lors du retour effectif au multipartisme en 2002 et devint ministre adjointe au Ministère de l’Environnement et des Ressources naturelles de la République du Kenya.